L’apprenti d’Araluen, tome 1 (John Flanagan)

J’avais déjà entendu parler de ce livre (une amie l’avais lu et apprécier) et je l’ai donc ajouter à ma wish-list (histoire de ne pas l’oublier). Et c’est avec grand plaisir que je l’ai reçu lors du Swap Halloween. Je remercie donc encore une fois Lia pour m’avoir offert ce livre. (tu m’avais mis dans ton petit mot que tu voulais lire mon avis et bien le voici ;) )

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Résumé :

Will rêve de devenir chevalier, comme son père, mort en héros au combat. Mais c’est un tout autre destin qui lui est réservé. Il sera désormais l’apprenti sorcier du sombre Halt, un Rôdeur aux pouvoirs troublants, défenseur secret du royaume d’Araluen. Pour maintenir la paix du domaine, Willdoit apprendre la magie de la dissimulation et devenir une ombre parmi les ombres. Et il lui faut faire vite car les montagnes désoles de Pluie et de Nuit murmurent que Morgarath, noir seigneur et baron félon, serait de retour… Et qu’il compterait bien reprendre le pouvoir par le feu et le sang.

Mon avis :

On peut lire dans la description de l’auteur qu’il a écrit ce livre pour donner envie de lire à son fils. Et bien je pense qu’il e dû réussir ! Ce livre se lit très facilement et bien que l’histoire soit un classique on a au moins l’originalité de voir le côté obscur de la force.. hum je veux dire le travail secret et dissimulé d’un rôdeur.

Nous suivons donc la vie trépidante de Will, jeune orphelin qui va devenir apprenti rôdeur.. un peu malgré lui. En parallèle, nous avons aussi les aventures de Horace, un autre orphelin qui lui a choisit la voie du guerrier et de l’évolution des relations entre ces deux jeunes gens. Ces deux là sont assez attachants et même si leurs aventures ne recèlent pas de réelle surprise, on a envie de savoir ce qu’ils leur arrive. Pour ma part j’ai même hâte de les voir grandir et c’est pour cela que je pense lire la suite.

Pour une lectrice assidue de Fantasy (comme moi), ce livre n’a peut être pas de réel intérêt. Mais c’est une lecture facile qui détend entre deux livres comme Dehors les Chiens, les Infidèles et Le Seigneur des Anneaux.

Par contre, je le conseille à toute maman/papa/oncle/tante/frère/sœur (entourez la mention utile) qui aimerait faire découvrir la fantasy à un jeune lecteur. Et c’est pas juste parce qu’on approche de Noël que je dit ça, hein !

Il y a tout les ingrédients nécessaires à une bonne histoire : de l’action, du courage, de l’amitié, des monstres pas sympa.. Il ne manque pratiquement rien ! La magie n’es pas  présente (pour l’instant en tout cas) et c’est pas plus mal. Les personnages ne doivent leur victoires qu’à eux même, il n’y a pas d’artifices ici ;)

En plus :

L’édition Le Livre de Poche est assez pratique. La couverture souple et plastifié promet d’être résistante. les rabats peuvent servirent de marque page d’urgence (moi je n’aime pas utiliser ça mais pour un jeune lecteur qui aurait égarer sont MP c’est sympa). Par contre le doré s’en va très facilement..

Le récit comporte en plus une carte, élément bien pratique dans tout livre de fantasy !

Pour conclure :

Une bonne histoire, facile à lire. A faire lire de toute urgence à votre petit frère/ petite sœur/ fils ou fille ! (ou neveu, nièce ect…)

Rendez-vous au prochain tome pour lire mon avis !

Dehors les Chiens, les Infidèles (Maïa Mazaurette)

Et encore un partenariat !! Bon ca fait maintenant une semaine que j’ai lu ce livre mais je tenais à rédiger mes articles dans l’ordre… Bon je ne sait pas si c’est moi ou si j’ai juste beaucoup de chance mais décidément je tombe que sur des super livres en partenariat ! Livres que je dévore en quelques jours seulement (3 ici), preuve que j’ai accrocher.

Ce coup ci, ce sont les éditions Folio SF que je doit remercier pour cette super découverte et bien sur Livraddict pour organiser tout ça !

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http://www.livraddict.com/biblio/couverture/couv29557094.jpgRésumé :

« Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres. Moi, Jésus, je suis l’étoile brillante du matin. » Apocalypse de Jean, XXII, 15-16.

Quatre-vingts ans après la défaite des forces de la Lumière face aux Ténèbres, le monde ne connaît plus que la nuit éternelle. Seul espoir de voir un jour se lever le soleil : la Quête. Tous les cinq ans, un groupe de cinq adolescents spécialement entraînés part à la recherche de l’Etoile du Matin, arme légendaire, seule capable de lever la malédiction divine qui frappe l’humanité.
Avec Dehors les chiens, les infidèles, roman apocalyptique, violent et captivant, s’interrogeant sur le fondamentalisme religieux, Maïa Mazaurette se place d’emblée parmi les auteurs de fantasy à suivre.

Mon avis :

J’ai choisi ce livre d’une part parce qu’il restait de la place (qu’elle chance !) et d’autre part parce que le synopsis m’as tout de suite attirer. Mh de la Fantasy ou tout va mal ? Mhmh ça sent les gens pas gentils et bien violents.. super ! (j’aime bien malmener mes vieux clichés de Fantasy en ce moment..) Pour le côté religieux, j’avoue que ça m’as tenter pour le côté « critique » mais j’avais peur de tomber sur des principes que je ne comprendrais pas (pour moi le christianisme se limite au catéchisme de quand j’avais moins de 10 ans).

Et ben pas du tout. La religion est présente mais rien de complexe. A part quelques termes que je ne connaissais pas, je n’ai pas eu de problème de compréhension. De plus l’histoire se déroule facilement avec son lot d’action, de rebondissement et de mystères. De fait, on est pas embêtés par de grandes questions théologiques et de toute manière là n’est pas le but.

Je m’attendais à une sorte de critique de la religion (du même genre que dans La croisé des Mondes) mais en fait il n’en est rien. L’histoire reste très neutre, on se contente de suivre chaque personnage avec ses réflexions et sa manière d’appréhender sa foi envers Dieu. Il y a de tout : de l’inquisitrice convaincue à l’espion blasphémateur.

Des cinq quêteurs, j’ai aimer chacun. Ils sont tous développés avec leur propres problèmes et buts (même si leur but premier reste la quête). J’ai adorer le fait qu’ils soient au delà du bien et du mal. Car quoi qu’ils fassent, ils le font toujours pour Dieu ou pour le retour de la lumière.

Bref ce livre avait tout pour me plaire : des personnages complexes et attachants, pas mal de mystères autour de la quête et de nombreux retournement de situation car chacun veux faire à sa manière. Dans tout ça on se demande où est la volonté de Dieu d’ailleurs…

J’ai encore plus aimer la fin qui ne m’as pas du tout déçue. On finit ce livre avec la satisfaction d’avoir vécu pas mal d’action et de quoi réfléchir un moment. L’auteure à su relier plaisir et réflexion l’air de rien.

L’histoire est vraiment sombre et violente mais elle est racontée de tel manière que ce ne m’as pas choquer (ni déprimer). Après tout, elle se passe dans un monde ou le mal à vaincu.. ça aurais été moins crédible autrement.

Voilà je pense avoir tout dit (dur dur de tout ce rappeler après une semaine mais bon..)

Pour ce qui concerne l’auteur j’ai vu après coup qu’elle avait travailler jusque là sur des projets très éloignés de la fantasy (plutôt portés sur le sexe vu d’une manière comique). Cela montre que c’est une personne pleine de surprises en tout cas ! Et je suis bien contente qu’elle se soit mise à la fantasy. En espérant que ce ne soit pas la dernière fois !

Pour conclure :

Un super livre de fantasy. Sombre, plein d’action et de rebondissement. Des personnages complexes.. Que demander de plus ? Mhh.. Ah oui.. Un autre !

Et puis.. La couv’ est chouette, non ? Elle  est fidèle à l’idée que je me fait de Spérance en plus ;)

Alice19th (Yuu Watase)

On continue dans l’ordre de lecture. Cette fois -ci c’est un manga, ou plutôt tout une série. Bin oui.. j’ai craquer.. j’ai acheter les 7 tomes de Alice 19th pour les dévorer en 2-3 jours. (Mais c’était d’occasion, hein. Je ne suis pas tout à fait folle)

En tout cas, je préfère donner mon avis sur un série entière que sur un seul tome.. Les mangas sont très cours, je ne sait pas trop quoi dire, surtout au niveau de l’histoire (à moins qu’il ne s’agisse d’un on-shot bien sur). C’est pour cela que pour mon avis sur Death Note il faudra attendre que j’ai lu une bonne partie des tomes (désolée).

Bref, inaugurons la catégorie Manga avec Alice19th, de Yuu Watase. En plus c’est trop bien, ils sont déjà sur Livraddict  (flemmardise quand tu nous tiens..)

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Synopsis :

Un matin, Alice Séno sauve un étrange petit lapin blanc. Cet incident la rapproche de Kyô Wakamiya, le garçon dont elle est éprise… mais cela ne suffit pour empêcher sa sœur et ce dernier de sortir ensemble. C’est alors qu’Alice retrouve le lapin qui se transforme en fille appelée Nyozéka et apprend à notre héroïne qu’elle est une Lotis Master…

Mon avis :

Qui dit Alice… dit forcément Alice au pays des merveilles. Surtout quand en plus il y a un lapin blanc dans l’histoire. Mais oubliez vite l’héroïne de Lewis Caroll, car à part cela, pas de réel rapport entre les deux.

Par contre si vous connaissez déjà de près ou de loin Yuu Watase vous reconnaitrez tout de suite son travail que ce soit du côté graphique que scénariste.

Pas de réelle surprise de ce côté là donc. C’est un shôjo et c’est un Yuu Watase… Si vous avez lu ou vu Ayashi no Ceres, Fushigi Yugi ou tout autre travail de la mangaka vous retrouverez donc très vite vos repères.

Pour ceux qui n’aiment pas ce style, ce n’est pas la peine de forcer, passez votre chemin. Pour ceux qui aiment, adorent ou ne connaissent pas, je vous conseille cette série.

 

Tout d’abord du point de vu graphique c’est un très beau manga que voilà. Rien que les couv’ sont très belles et j’aime le fait qu’elles soit toutes faites de la même manière. Ça donne une certaine unité visuelle à la série (et ça fait très chouette dans la bibliothèque). A l’intérieur, Yuu Watase nous montre qu’elle n’est plus une débutante, loin de là. Elle maitrise parfaitement son style. A aucun moment je ne l’ai trouver brouillon ou je me suis sentie perdue dans l’histoire.

Un petit coup de cœur pour les costumes des personnages, vraiment très réussis. On sent que la mangaka s’est fait plaisir et je regrette presque qu’elle ne le fasse pas d’avantage.

Passons aux personnages :

Alice est une jeune fille assez typique des shôjo. Tout d’abord timide et réservée, elle devra faire preuve de courage et d’assurance pour avancer. Cependant elle reste attachante et est loin d’être agaçante comme peut l’être Miaka de Fushigi Yugi. Son pouvoir -celui du Lotis- s’intègre bien aux problème que nombre d’adolescente ont – c’est à dire celui de s’exprimer. Donc forcément ce personnage nous touche.

Kiô est le héros. Alors forcément, il est beau et courageux, il tombe amoureux de l’héroïne, la sauve, ect.. Mais au fil des tomes ont découvre un personnage pas aussi fade qu’il n’y parait. Car lui aussi deviens un Lotis Master et donc à ses propres problèmes à surmonter. Je l’ai trouver finalement très sympa ce garçon avec ses moments bizarres (ses trucs avec la calligraphie et ses citations m’ont bien fait rire.. ) et sont côté un peu lent à la comprenette.

Ensuite on retrouve la gentille qui devient méchante.. la soeur d’Alice. Ce n’est pas un scoop, regardez Ayashi no Ceres (le frère d’Aya) et Fushigi Yugi (la meilleur amie de Miaka) et vous comprendrez que c’est un mécanisme souvent utilisé. Mais qui marche. C’est plus intéressant quand le combat concerne des proches plutôt qu’un grand méchant inconnu, non ? (non je ne suis pas sadique~) Les personnages de méchants sont toujours intéressants, surtout quand ils s’assument (comprendre : se ne sont pas juste des marionnettes). De ce côté là Mayura ne m’as pas trop déçue.

Frey : C’est le personnage extraverti qui met des bâton dans les roues de nos deux tourtereaux. Bien sur, sa présence va plus faire accélérer les choses entre les deux héros que les freiner mais bon… Je pardonne l’auteure d’utiliser cette vieille ficelle car Frey est aussi un personnage avec sa dose de mystère et il ajoute une touche de légèreté dans l’histoire qui n’est pas désagréable. C’est aussi un Lotis Master accomplit et il va aussi servir de mentor.

Ensuite il y a Chris, Mei-Lin et Billy. Lotis Master assez accessoires. Un petit plus pour Chris que j’ai trouver adorable et qui est plus développé que les deux autres.

Pour finir les autres méchants (je vous laisse les découvrir) sont assez intéressants mais malheureusement confinés à la fin. Ils ne sont donc pas très développés, mais ça ne choque pas dans le déroulement de l’histoire. Après tout c’est une série en 7 tomes seulement…

Le pouvoir qui est au centre de l’histoire, le Lotis est bien exploité. L’idée est simple mais efficace. Je l’ai préféré par exemple au système de Fushigi Yugi que je trouvais bancal. La fin est très belle et clos bien la série : une happy end avec un peu d’amertume dans la lignée des autres manga de la mangaka. (Yuu Watase à une commission sur chaque mouchoir que vous utiliserez en lisant ses manga, j’en suis sure !)

En plus : Les illustrations de Yuu Watase sont vraiment magnifiques. dommages qu’elles se cantonnent à la fin du premier tome et au début de parties (qui sont assez peut nombreuses au final).

Il y a aussi une histoire supplémentaire avec le 7ème tome : Bunny Heart  axée sur Nyozéka. J’ai bien aimer l’idée d’approfondir l’univers d’Alice19th même si l’histoire est assez bateau.

Pour conlure : Une jolie série à l’histoire bien menée. A lire si on aime les Shôjô et Yuu Watase. Pas indispensable certes, mais vraiment sympatique. Et en plus courte.. Pas d’excuse donc !

L’héritage des Darcer (Marie Caillet)

Ouf, je peux enfin écrire cet avis. Mais alors qu’après ma lecture, je l’avais très nettement rédiger dans ma tête, à présent c’est un peut flou… Mes excuses d’avance si je n’embrouille dans ma rédaction mais j’ai pas mal de chose a rattraper ^^ »

Tout d’abord j’aimerais remercier ma chère Snow pour m’avoir prêter cet excellent livre juste après l’avoir lu dans le cadre d’un partenariat. (en échange je m’engage à te prêter sous peu Dehors les chiens, les infidèles ;p)

Synopsis : 

Lorsqu’on s’appelle Mydria, qu’on est la fille unique et chérie des puissants Siartt, et qu’on a pour objectif principal d’accéder à un pouvoir plus grand encore en épousant le prince héritier du royaume, la vie ne peut pas être ennuyeuse. Jusqu’au jour où Mydria découvre ses vraies origines. Elle n’est nullement Siartt, mais l’ultime héritière d’une dynastie renversée depuis des générations ! Horreur : à la suite de ses ancêtres, elle est tenue de se lancer à la recherche du trésor familial, recevant pour seules aides un sifflet et le Don d’Aile, cet étrange pouvoir capable de vous métamorphoser à volonté…
Le pire danger ne l’attend peut-être pas derrière l’errance, la bataille et les cloques aux pieds. Le pire danger pour un cœur confiant ne tient peut-être qu’en un seul nom : Orest.

Mon avis :

Un très bon synopsis que voici (pour une fois). Bien fait car il m’as complètement menée en bateau et pourtant, en relisant après avoir finit le livre, je me suis rendu compte qu’il était finalement très fidèle. Comme quoi, il faudrait mieux ranger son imagination au placard quand on lit une quatrième de couverture…

Mais peut importe, car j’ai aimer me faire promener loin, très loin de ce à quoi je m’attendait. Merci Marie Caillet pour ce voyage excitant et surprenant.

Commençons d’abord par Mydria (au fait, « My » ça se prononce « maï » ou « mi » ?), notre héroïne. Et bien elle n’a rien de l’héroïne auquel je m’attendait ! En fait, ce n’est pas une héroïne. C’est une fille normale, certes riche et noble mais au final elle reste une jeune fille de 16 ans. Et c’est justement cela qui l’a rendu si attachante à mes yeux, je pense. Ses actes de courages, ses peurs et ses faiblesses n’en sont que plus authentiques. Voilà pour la première (agréable) surprise.

Ensuite il y a Orest, le seul qui correspondait plus ou moins à l’idée que je m’en faisait. Bin, oui, j’avais lu peu avant Le Fils de l’Ombre, souvenez vous. Alors forcément les assassins taciturnes, je les repères à 100 mètre. Mais celui-là et pire que taciturne ! Dans le genre buté et renfermé, on fait difficilement plus.. mais c’est ce qui fait son charme.

Il y a d’autres personnages intéressants mais je ne vous les détails pas, histoire de vous laisser la surprise. Sachez juste que je ne m’attendait pas à un telle équipée. Encore une fois, je me suis faite avoir (ça fait du bien, de temps en temps).

L’histoire en elle même est très prenante. Rien à avoir avec la quête initiatique auquel je m’attendait. Non, ici c’est plus terre à terre, peut être, moins grandiose en tout cas (que l’image que je m’en faisait s’entend). Mais c’est justement ce qui m’as plu et interpeler dans ce récit. Quand on vous dit que Mydria part avec seulement le don d’aile et le sifflet, c’est bel est bien le cas. Et hop, débrouille toi avec ça ma vieille ! Du coup, l’aventure n’en est que plus intense. On se demande chaque fois comment ils vont bien pouvoir s’en sortir parce que franchement, ils sont mal barrés.

Les personnages vont donc devoir se surpasser et se forcer à changer -enfin surtout Mydria en fait.

Je me suis pas mal fait malmener du côté des péripéties. Je n’arrivais pas à deviner la suite et plusieurs fois je me suis fait peur. Jusqu’au bout on se demande si ils vont finir par aller au bout ou pas. Je vous laisse connaitre la réponse à cette dernière question en lisant le livre. Tout ce que je peut dire, c’est que je ne m’y attendait pas.

Côté écriture, j’ai trouver la plume de Marie Caillet très agréable. Elle a parfois des phrases très belles à lire qui donnent un côté poétique à son récit. Bref, j’accroche et j’attends impatiemment la suite (puisque suite il y aurai mais en cours d’écriture)

Pour conclure :  Un livre qui m’as agréablement surprise. Quand l’histoire commence vraiment, les péripéties s’enchaînent et c’est dur de lâcher.Une belle écriture que celle de Marie Caillet. Une auteure à surveiller, donc.

Il était temps que je rédige cet article car apparemment, il y aura demain, Mercredi 24 novembre une rencontre virtuelle avec Marie Caillet sur Livraddict. je vous invite à passer jeter un coup d’œil !

Oksa Pollock, tome 1 : L’Inespérée (Plichota/Wolf)

Bon, j’avais décider de rédiger mes avis tout de suite après avoir finit un livre mais ce week end c’était mission impossible entre la rencontre Livraddict à Epinal et la convention sur les jdr de ma fac (et deux nuits blanches). Bref me voilà revenue pour vous parler d’Oksa, une fille bien sympa et très.. spéciale !

Résumé : 

Oksa Pollock, 13 ans, pensait être comme tout le monde, mais ce soir tout a changé… Un peu angoissée par la rentrée dans son nouveau collège, Oksa déclenche tout à coup des phénomènes étranges dans sa chambre. Un coin de son bureau prend feu, ses cartons de déménagement pas encore défaits explosent… Elle qui a toujours rêvé d’être une ninja, voilà qu’elle se découvre des dons surnaturels ! Perdue et terrifiée, elle se garde bien d’en parler. Mais ce n’est pas fini. Le même soir apparaît sur son ventre une mystérieuse empreinte. Mise dans la confidence, sa grand-mère, l’excentrique Dragomira, lui avoue le secret de ses origines : la famille Pollock vient d’Édéfia, un monde invisible caché quelque part sur Terre.Oksa est leur Inespérée, leur seul espoir d’y retourner. Oksa ne sera plus jamais la même. Et malgré l’aide de son meilleur ami Gus, il va lui être bien difficile de concilier sa vie de collégienne ordinaire avec l’accomplissement de son stupéfiant destin.

Mon avis :

J’avais beaucoup entendu parler de se livre (et en bien) sans parvenir à comprendre vraiment de quoi il parlait. Les seuls indices que j’avais réussis a trouver étaient Oksa et Magie. De la magie, ok. Mais de quel genre ?

Alors attention, j’ai pu lire un peu partout à mon grand dam que Oksa Pollock était la nouvelle Harry Potter…. Déjà je trouve que ce genre de comparaison est des plus douteuses et ne peu que nuire au livre comparé et ensuite la magie du monde d’Oksa n’a strictement rien a voir avec celle de Rowling. C’est un monde très original qui s’ouvre à Oksa en vérité. Un monde peuplé de créatures loufoques, de plantes parlantes et qui possède un vocabulaire bien a lui.

Le personnage d’Oksa est vraiment adorable. C’est une jeune fille dynamique et pleine de vie (peut être même un poil trop pour moi) qui a du caractère et aime se fourrer dans le pétrin. On s’attache vite à elle et  heureusement car elle est l’élément central de ce récit.

Autour d’Oksa gravite plusieurs personnages plutôt intéressants. La famille d’Oksa surtout est composée d’individus originaux (Baba Pollock est ma préférée). Gus lui est surement le personnage le plus banal mais c’est justement ce qui lui donne de l’intérêt. Il aide Oksa a garder les pieds sur terre (au sens propre comme au figuré) et elle en a bien besoin.

L’histoire est pleine de rebondissement, on oscille entre la vie de collégienne d’Oksa et sa vie de famille et aucune des deux n’est de tout repos. On découvre petit à petit ce monde de magie auquel Oksa semble appartenir avec chaque fois plu de surprise. Cepedant, j’ai trouver que l’histoire ce limitait un peu trop à cela. On passe beaucoup de temps à s’émerveiller avec Oksa ce qui laisse peu de temps à l’intrigue principale qui est pourtant très intéressante. Bien sur il est normal de passer par de nombreuses découvertes et descriptions quand les auteurs on créer de toute pièce leur univers. Mais j’avoue m’être ennuyer parfois et j’ai trouver ce livre bien long par moment. On se perd un peu et on se demande ou l’histoire va nous mener au final. J’ai continuer malgré cela car le personnage d’Oksa arrivait toujours à titiller mon intérêt.

Pour conclure :

J’ai bien aimer cette lecture même si je l’ai trouvée un peu longuette parfois. Je pense que j’aurais plus d’intérêt pour la suite car elle devrait nous plonger plus dans l’action et la vrai aventure d’Oksa.